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Recherche par auteur : Valode, Philippe

597 résultats. Page 19 sur 30.

Durée : 5h. 48min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 30387
Résumé:Jeune provincial, le narrateur débarque à la capitale pour faire ses années de classe préparatoire. Il va découvrir une solitude nouvelle et un univers où la compétition est impitoyable. Un jour, un élève moins résistant que lui craque en plein cours, sort en insultant le prof et enjambe la balustrade. On retrouve dans Un hiver à Paris tout ce qui fait le charme des romans de Jean-Philippe Blondel : la complexité des relations ; un effondrement, suivi d'une remontée mais à quel prix ; l'attirance pour la mort et pour la vie ; la confusion des sentiments ; le succès gagné sur un malentendu ; le plaisir derrière la douleur ; L'amertume derrière la joie. Sont présents les trois lieux qui guident la vie de l'auteur : Troyes, Paris, les Landes. Dans la lignée de Et rester vivant, il y a chez le personnage-auteur-narrateur la même rage pure, la même sauvagerie - pour rester toujours debout sous des allures presque dilettantes.
Durée : 5h. 52min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 30598
Résumé:Et si le roman noir constituait une entrée éclairante dans les dérèglements existentiels et sociaux contemporains ? C'est l'hypothèse de Philippe Corcuff qui voit dans le polar l'une des expressions principales d'une critique sociale radicale et d'interrogations sur le sens de nos vies. Le sociologue et philosophe prouve à nouveau sa grande originalité en faisant de la littérature populaire un lieu essentiel de ressourcement éthique. Une contribution décalée, proche de nos préoccupations ordinaires, à la question du sens individuel et collectif des existences humaines dans nos sociétés en crise.
Lu par : Michèle Cheikh
Durée : 7h. 45min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 30568
Résumé:Un hiver glacial s'est abattu sur le grand-duché de Sillyrie. Dans la capitale, les enfants des rues disparaissent, enlevés par des hommes-loups. Malgré son agilité de chat et ses talents de voleuse à la tire, la jeune Mimsy Pocket tombe dans un guet-apens. La voilà emmenée avec ses camarades à travers les forêts enneigées vers une destination inconnue. De son côté, son ami Magnus Million chemine en train jusqu'à un monastère haut perché où l'attend une dangereuse mission. Mais des fantômes surgissent bientôt du passé...
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 3h. 49min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 30334
Résumé:
Lu par : Marianne Pernet
Durée : 3h. 25min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 30336
Résumé:C'est l'histoire d'un homme qui joue. Pourquoi joue-t-il ? Pour jouir du moment ? Pour fuir quelque chose ? Paul gagne pourtant convenablement sa vie, il a une femme belle et intelligente qui réussit dans son métier. Rien de flamboyant dans son jeu, pas de casino, de roulette et de mélodrame. Non, le jeu le plus simple, le jeu en ligne, les paris sur des matchs de football. Et c'est précisément parce qu'il est plus simple, qu'il peut s'y adonner de chez lui, qu'il est le plus captivant, dans les deux sens du terme : il le captive, il en est captif. Sara se méfie, Sara souffre, Sara menace. Paul promet d'arrêter. Il recommence. Il ment. Croit à ses mensonges. Tente d'arrêter. Se désintoxique. Recommence. Et toujours en se donnant les justifications les plus habiles, les plus spécieuses, les plus mensongères, car c'est lui qui raconte l'histoire de son jeu. Et nous comprenons que c'est avec sa vie qu'il joue."Je ne la '' touchais plus '', comme elle disait, comme elle en souffrait. Pour le dire de façon vulgaire, je ne bandais pour rien d'autre que me mettre en jeu, miser de l'argent, risquer de le perdre, et, si je baisais quelqu'un, ce n'était jamais que les bookmakers, en me montrant plus perspicace qu'eux". Cet artiste de la confidence, jusqu'à quel point ne ment-il pas dans son récit même ? Ce qui est certain, c'est que "le jeu est plus fort que le joueur". Avec la finesse psychologique qu'on lui connaît, la délicatesse dans l'approche des sentiments violents, Philippe Vilain fait le portrait d'une passion, le portrait d'un couple, le portrait de la nocivité profonde de cette passion sur ce couple.
Durée : 9h. 14min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 30327
Résumé:Oregon, 1851. Eli et Charlie Sisters, redoutable tandem de tueurs professionnels aux tempéraments radicalement opposés mais d'égale (et sinistre) réputation, chevauchent vers Sacramento, Californie, où ils ont pour mission d'exécuter un chercheur d'or. Tandis que Charlie galope sans états d'âme - mais non sans eau-de-vie - vers le crime, Eli ne cesse de s'interroger sur la pertinence de la funeste activité à laquelle tous deux s'adonnent, au fil de rencontres aussi insolites que belliqueuses avec les individus patibulaires ou visionnaires qui hantent l'Amérique de la Ruée vers l'or. Avec ce roman jubilatoire, où l'humour noir le dispute à une subtile excentricité, Patrick deWitt offre un hommage décalé aux classiques du western en l'inoubliable compagnie de deux frères moins liés par le sang et la violence que par l'indéfectible amour qu'ils se portent silencieusement.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 21h. 51min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 30301
Résumé:"Choses vues" dans les dernières années du XXe siècle, les chroniques ici rassemblées dressent un portrait aussi précis que possible de notre temps; et, simultanément, elles ébauchent une théorie générale de ce moment de la civilisation que Philippe Muray appelle l'ère hyperfestive, car l'accumulation illimitée de fêtes en est devenue l'occupation la plus fervente et la consolation la plus quotidienne. L'individu inédit que cette civilisation est en train de façonner a donc lui aussi un nom qui n'était encore jamais apparu nulle part Homo festivus. Après l'Histoire est le récit, à la fois inquiétant et comique, des aventures de ce personnage qui ne ressemble plus à rien de connu jusque-là. On y trouvera des aperçus étonnants sur son idéologie, son langage, ses habitudes, son comportement intime, sa morale publique, ses nouvelles méthodes pour faire régner l'ordre et même, de plus en plus souvent, et de manière impunie, la terreur. Pour espérer comprendre quelque chose à notre époque, il est indispensable de faire le pari que la métamorphose des hommes a déjà eu lieu et que leur mutation n'est envisageable qu'à partir de l'hypothèse d'une sortie définitive de la période historique, pour autant qu'Histoire et humanité étaient synonymes. Après l'Histoire veut donc dire aussi : après l'humain.
Lu par : Manon
Durée : 1h. 23min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 30512
Résumé:Sans doute, ce nouveau recueil est-il particulièrement "solaire", invités que nous sommes à goûter au plaisir transgressif du mojito, à se faire surprendre par une averse, à tremper nos lèvres dans la perfection transparente de la pastèque... Mais chez Philippe Delerm, le soleil ne va jamais sans pluie, et le bonheur sans mélancolie. Grand lecteur de Jules Renard, l'auteur le cite en exergue : "Le vrai bonheur serait de se souvenir du présent". Ce présent qui ne cesse de s'échapper, bien sûr, et dont nous avons déjà la nostalgie alors même que nous le vivons. Voici quelques exemples de ces textes. "Tendre est la vie cruelle" : sur l'amour fragile de deux personnes qui, à près de 60 ans, ont plus de passé que d'avenir à vivre ensemble, mais qu'un baiser volé va rappeler à leur adolescence. "On ne peut pas être plus près, plus chauds, plus confondus. Et pourtant c'est le fragile qu'on sent." Le bonheur de "Danser sans savoir danser" : on n'a jamais été de ceux qui fréquentent les boîtes de nuit. On admirait ceux qui, sur les pistes de danse, évoluaient si facilement. Mais un jour, à un mariage, "on choisit de danser. Danser, c'est un grand mot. On bouge comme un ours. Mais ce n'est pas grave. On a passé l'âge des susceptibilités. Chance, ça commence par un twist. On peut jouer son insuffisance au deuxième degré, en pliant les genoux, avec un mouvement de bras qui ne donne pas le change, mais semble se moquer de toute une époque - la nôtre." "Le mensonge de la pastèque" : "Elle est trop belle. Etrange. Est-ce qu'on la boit, est-ce qu'on la mange ? Elle est comme une fausse piste du désir. (...) La mangue et la goyave ont goût de mangue et de goyave. La pastèque n'a goût de rien et c'est donc elle qu'on désire en vain. Elle est la perfection de son mensonge (...) Elle n'est qu'un mirage de la chaleur et de l'été."
Lu par : Manon
Durée : 5h. 1min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 30493
Résumé:Qui sommes-nous vraiment, nous qui avons affiché une telle détermination dans le refus de ta violence aveugle et notre foi dans la République le 11 janvier dernier ? La cartographie et la sociologie des trois à quatre millions de marcheurs parisiens et provinciaux réservent bien des surprises. Car si Chartie revendique des valeurs libérales et républicaines, les classes moyennes réelles qui marchèrent en ce jour d'indignation avaient aussi en tête un tout autre programme, bien éloigné de l'idéal proclamé. Leurs valeurs profondes évoquaient plutôt les moments tristes de notre histoire nationale : conservatisme, égoïsme, domination, inégalité. La France doit-elle vraiment continuer de maltraiter sa jeunesse, rejeter à ta périphérie de ses villes les enfants d'immigrés, reléguer au fond de ses départements ses classes populaires, diaboliser l'islam, nourrir un antisémitisme de plus en plus menaçant ? Identifier les forces anthropologiques, religieuses, économiques et politiques qui nous ont menés au bord du gouffre, indiquer tes voies difficiles, incertaines, mais possibles d'un retour à la véritable République, telle est l'ambition qui anime ce livre.
Lu par : Caroline Baffet
Durée : 3h. 24min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 30467
Résumé:Le livre parle de ce qu'est le désir homosexuel, et ensuite du comment «vivre avec» et comment en parler ; enfin, le troisième chapitre, le plus original sans doute, concerne le discours de l'Eglise catholique sur l'homosexualité. Loin de toute condamnation.
Lu par : Manon
Durée : 5h. 34min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 30055
Résumé:« A quoi bon la culture puisque le monde tient désormais en deux catégories : like et unlike ? C'est ainsi qu'on subit jusqu'à la nausée les dénonciations d'Edwy Plenel, les indignations d'Edgar Morin, la nostalgie totalitaire d'Alain Badiou ou les leçons de morale de Cécile Duflot, qui ont au moins un point commun avec Marine le Pen : ils sont « antisystèmes ». Le « système », c'est le mal. Ça ne veut rien dire, mais ça défoule. Le prêt-à-s'indigner médiatique, c'est la trop mince couche de glace sur laquelle titubent nos démocraties modernes. Il alerte sur la disparition des escargots, mais reste indifférent à la résurgence de l'antisémitisme. Qu'il s'agisse de la réintroduction des ours, d'un licenciement à la Poste ou du meurtre de Juifs perpétrés par un djihadiste dans une école, c'est le sociologisme qui, immanquablement, dit le bien et le mal, repris par les rédactions, les chroniqueurs, les humoristes, les parlementaires, sous les yeux de plus en plus indifférents des citoyens désespérés. Les autres points de vue sont insultés, ridiculisés, marginalisés, refoulés aux confins de l'hérésie. On n'a jamais vu dans l'Histoire qu'une telle censure morale des points de vue puisse durer bien longtemps. Face à ce mur derrière lequel agonise le débat démocratique, Malaise dans l'inculture propose la réhabilitation du marteau-piqueur. »
Lu par : Marianne Pernet
Durée : 6h. 41min.
Genre littéraire : Sciences/technologie
Numéro du livre : 20989
Résumé:En panne sèche dans la steppe mongole. Dans des creux de 10 mètres au large du cap Horn. Cerné par les ours non loin d'un goulag sibérien. Vaincu par les moustiques dans le delta du Danube. S'agit-il là des nouvelles aventures de Tintin, d'Indiana Jones ou de Nicolas Hulot ? Pas du tout. Ce sont les tribulations d'un chercheur d'oiseaux. Ornithologue émérite, Philippe J Dubois nous raconte avec passion et humour ses expéditions à travers le monde la recherche des syrrhaptes paradoxaux, rougequeues de Güldenstädt, bruants masqua, bécasseaux spatules et autres incroyables volatiles. Il nous entraîne avec lui de l'Alaska à l'Antarctique, de la Géorgie au Népal, et même Ouessant, car l'aventure se trouve parfois tout près finalement.
Durée : 4h. 22min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20877
Résumé:Aucun comédien de sa génération n'a réussi à incarner avec autant de naturel cette jeunesse rebelle prête à faire sauter les tabous de l'Amérique puritaine. Mais qui était vraiment James Dean, cet enfant terrible et surdoué du cinéma américain ? Que cachait-il en réalité derrière cette moue sensuelle et cette chevelure en bataille gravées dans toutes les mémoires ? On raconte souvent James Dean par le prisme de sa mort prématurée. Philippe Besson a fait le choix inverse : décrire une enfance singulière, heureuse, une adolescence tourmentée, une jeunesse fulgurante, tenter de cerner un jeune homme dans toute sa complexité, dans toute son ambiguïté, aussi. A l'inverse d'un documentaire où des vivants rendent hommage à un disparu, dans ce livre, ce sont des disparus qui évoquent un James Dean incarné et vivant. Philippe Besson réalise ici un tour de force en faisant s'exprimer une trentaine de personnages (sa mère, le professeur de théâtre de son lycée, ses colocataires à New York, les metteurs en scène - Nicholas Ray, Elia Kazan - et les actrices - Liz Taylor, Natalie Wood - qui l'ont côtoyé), recomposant par petites touches la personnalité de James Dean, avant tout dans sa dimension privée. Sa mère, qu'il adore, lui transmet le goût des arts, mais elle meurt hélas d'un cancer alors qu'il n'a que neuf ans. Son père l'abandonne alors aux bons soins de sa tante et part sur le front. L'adolescence de James Dean, dans l'Indiana, se partage entre les tâches de la ferme où il grandit et les cours de théâtre de son lycée, qui le passionnent. De New York à Los Angeles, entre ses classes à l'Actors Studio et divers petits boulots, Jimmy poursuit son seul rêve : devenir acteur, pour devenir un autre. Une première apparition dans une publicité pour Pepsi suffit à lancer sa carrière. Dès lors, les plus grands réalisateurs se l'arrachent. Redouté pour ses retards sur les plateaux, ses colères, ses enfantillages, obsédé par la vitesse et collectionneur de voitures de course, couvé par les femmes, adulé par les filles mais attiré par les garçons, il laisse flotter une aura de mystère autour de lui et ne laisse que de rares privilégiés partager son intimité. Jusqu'à ce qu'en 1955, sa Porsche Spyder 550 vienne s'écraser contre un poteau télégraphique, mettant fin à cette trajectoire foudroyante. "Il faut vivre vite, mourir jeune, et faire un beau cadavre" : telle était la formule provocatrice, mais ô combien prémonitoire que James Dean aimait répéter à son entourage. Dans ce portrait kaléidoscopique, on découvre un garçon inconsolable et myope, capable du pire comme du meilleur, et dont le destin semble n'avoir jamais été autre que de filer telle une comète.
Durée : 3h. 13min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20871
Résumé:Tristan Feller, psychanalyste parisien, a la réputation de recevoir dans son cabinet grand nombre de célébrités du monde du spectacle ou de la littérature. Fort de ses années de pratique, il aime ce retournement de situation : inaccessibles idoles, ces personnalités abandonnent sur son divan leurs habits de lumière pour redevenir, par la grâce du transfert, des enfants tremblants qui lui confient leur destin.Une rencontre avec un patient hors du commun va cependant bousculer ses habitudes d'analyste et l'amener, à son corps défendant, à vivre sa pratique sous un jour différent Un coup de téléphone sera à l'origine de ce bouleversement : le majordome du célèbre danseur Rudolf Noureev sollicite pour ce dernier un rendez-vous dans les plus brefs délais. Intrigué par cette façon pour le moins inhabituelle de procéder, le psychanalyste se surprend à accepter ce qui va constituer la première d'une longue série d'entorses à ses principes. En effet, la rencontre avec la star va rapidement déstabiliser Feller, tant l'aura de ce personnage singulier impose à la relation thérapeutique une couleur spécifique.De retour de sa première visite en Russie depuis son célèbre saut vers la liberté, Noureev est extrêmement déprimé et lui en confie la raison, marquant le début d'une cure peu orthodoxe : voyage dans l'histoire de cette légende vivante, mais aussi affrontement au cours duquel vont se déployer jeux de pouvoir et de fascination... de l'artiste mondialement connu ou du praticien expérimenté, qui va réellement mener la danse et devenir le psychanalyste de l'autre ?
Lu par : Marianne Pernet
Durée : 14h. 14min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20803
Résumé:Quand on est une famille de six garçons, impossible de s'ennuyer un seul instant. Entre Jean-A qui veut toujours être le chef, le club d'agents secrets de Jean-B, Jean-C qui ne comprend jamais rien, Jean-D alias Jean-Dégâts, les poissons rouges de Jean-E et le bébé Jean-F qui n'arrête pas de pleurer... Sans parler de la bande des Castors, des cousins Fougasse aux oreilles décollées et des boums mixtes de Jean-A... Heureusement que papa est un as du bricolage et que maman est très organisée !
Durée : 3h. 22min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 24523
Résumé:Le terrorisme moderne n'est pas né d'une perversion absolue. C'est même le premier pays démocratique, la France de la 1re République, qui a inventé le terrorisme politique en 1793-1794. Et de nos jours encore, les démocraties jouent un rôle essentiel dans la propagation du terrorisme à l'échelle mondiale, ne serait-ce qu'à travers leurs médias et certaines actions de leurs services secrets. Cet ouvrage propose un grand nombre de déclarations et de documents dont beaucoup sont inédits en français. Des Tupamaros uruguayens jusqu'à Ben Laden et aux Brigades rouges italiennes, les documents reproduits ici apportent de véritables arguments à une critique de fond des politiques terroristes. En commençant par les distinguer : Terreur révolutionnaire, terrorisme d'Etat, terrorisme de libération nationale, terrorisme fondamentaliste... Pour éradiquer le terrorisme, il va falloir livrer non pas une guerre, comme l'a voulu George W. Bush, mais un combat politique, incluant l'économie, le social, l'éthique même. Les armes seules n'y pourront rien.
Lu par : Laurence Bardin
Durée : 2h. 2min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 21571
Résumé:Toute une foule, vue de dos ou de profil, assistant à un spectacle invisible. Au loin, la mer. Une facture surprenante. Des personnages saisis dans des attitudes familières au cours d'une scène publique. Mais le vrai secret, c'était le personnage grimpé sur un tabouret et qui tient à la main une longue badine, ou une espèce de perche, dont l'extrémité atteint le centre de la scène. Quel sens donner à son geste ?
Lu par : Pierre Gautier
Durée : 5h. 49min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 22064
Résumé:Grez-sur-Loing, 1884. Autour de Carl Larsson vit une petite communauté de peintres scandinaves venus teste la lumière tant vantée par ceux que l'on nomme, encore par dérision, les « impressionnistes ». August Strindberg est là avec sa famille, Soren Kroyer les rejoint bientôt. Pour Ulrick Tercier, ils représentent la joie de vivre, la passion. Aussi, quand le groupe se délite, décide-t-il de parti pour Skagen, au Danemark, avec Soren Kroyer. Il est dès lors partagé entre différents lieux - Skageng Grez et Sundborn, en Suède - qui incarnent autant de conceptions de l'art et de la vie. Sundborn ou les jours de lumière, qui met en scène des personnages réels et romanesques, décrit par petites touches, légères et sensibles, les heurts, les cassures, les instants parfaits qui font une vie. Évocation de l'impossible conciliation entre l'absolu de l'art et les nécessaires compromissions de l'existence, ce roman empreint de nostalgie est également une célébration de la joie de vivre, et de peindre.
Lu par : Serpolier
Durée : 1h. 26min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 21344
Résumé:Des textes courts. Ce sont des enregistrements pirates, des expressions, des bribes de phrases happées au passage, des scènes filmées à la dérobée dans la rue, dans des endroits publics, quais de gare, wagons de métro, places de marchés, plages. Parfois c'est simplement un bruit, un graffiti. Philippe Delerm pose sur ces éclats d'humanité un regard amusé qui débusque la saveur de l'instant. Comme dans les tableaux du peintre vénitien Longhi qui font l'objet du premier et de l'ultime texte du recueil, les révélations viennent des signes, des comportements les plus infimes, volés au quotidien.
Durée : 2h. 18min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 26883
Résumé:Publié pour la première fois en 1983, ce roman marque l'entrée en littérature de Philippe Delerm, et de son talent pour la peinture pudique des sentiments et des sensations fugaces. " Un jour tu t'es laissée glisser vers un ailleurs qui te guettait de sa force tranquille et blanche... Pour une raison inexpliquée la 2 CV... a quitté... et percuté... est décédée dans la soirée... Je n'ai pas lu dans un journal ces mots qui ont dû y figurer, qui sont si secs et rassurants pour parler d'une mort bien propre à effacer. Tu ne liras jamais ces pages que j'écris dans une école sage au vent mouillé d'automne. "